• Preuve par la beauté du monde

    Regardez la nature, elle est si belle. Il faut bien qu'elle ait un créateur."

    "Comment expliquer l'ordre et la beauté du monde ? Par un hasard aveugle ?"

    C'est une variante de la preuve par la finalité

    Ce que constate la science, c'est que la matière obéit à certaines lois physiques. Ce qui se passe un instant donné et à un endroit donné, dépend de tellement de paramètres, (antérieurs et reste du monde) et relève donc d'une telle complexité que cela ressemble à du hasard (recevoir un pot de fleurs sur la tête en passant sous un balcon, par exemple). Mais ce n'est pas toujours le cas. En effet, la complexité peut prendre la forme d'êtres vivants, résultats de milliards d'années d'évolutions chaotiques, provoquées par le hasard des mutations et d'innombrables voies sans issues. On se trouve alors avec des îlots de "déterminisme" (chaque plante, chaque animal, chaque homme), c'est-à-dire dotés de ce que l'on appelle une volonté. Et ce joyeux mélange donne notre monde.
    Conclusion : voir la réponse courte ci-dessous

    Réponse courte :
    Ce n'est pas le monde qui est merveilleux, c'est l'homme qui est ignorant.

    Citation :
    "N'y a-t-il pas quelque chose d'un peu absurde dans le spectacle d'êtres humains qui tiennent devant eux un miroir et qui pensent que ce qu'ils y voient est tellement excellent que cela prouve qu'il doit y avoir une Intention Cosmique qui, depuis toujours, visait ce but... Si j'étais tout-puissant et si je disposais de millions d'années pour me livrer à des expériences, dont le résultat final serait l'Homme, je ne considérerais pas que j'aurais beaucoup de raisons de me vanter."
    (Bertrand Russell / 1872-1970 / Religion et Science / 1957)

    Réponse proposée par un internaute :
    Evoquons les atermoiements de la nature dans son évolution, ces fastidieux tâtonnements où un cataclysme vient régulièrement détruire 70 à 90% des animaux de la planète. Ces bouleversements permettent aux survivants, opportunistes, de poursuivre leur évolution de créatures perpétuellement améliorables...
    Tout cela n'indique-t-il pas que le monde est le fruit bien imparfait du hasard et de la nécessité, et non pas la création parfaite et immédiate d'un quelconque dieu ? Ou faudrait-il en conclure que Dieu est un bien piètre mécanicien, ou bien un enfant qui casse ses jouets ?
    (JCB / 18/07/05)


    votre commentaire
  • La preuve téléologique, par le principe de finalité, de l'existence de Dieu

    "Si Dieu n'existe pas, le monde est sans explication. Il y a forcément une explication."

    "Si Dieu n'existe pas, la vie et la destinée de l'homme n'ont pas de sens. On naît, on vit et on meurt pour rien."

    "Si Dieu n'existe pas, comment expliquer l'ordre du monde ?"

    "En réfléchissant honnêtement à l'ordre de la vie, et au fait de l'être, d'une façon métaphysique, l'intelligence est obligée de reconnaître l'existence d'un être supérieur, ce qu'on appelle Dieu."

    "Qui a fait l'homme pensant ?"

    C'est la même question que la célèbre formulation de Voltaire :
    "L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer
    Que cette horloge existe et n'ait pas d'horloger."

    Historique : Ces preuves avancées par Aristote, Saint Augustin, Saint Thomas d'Aquin, Voltaire, Leibniz s'appuient sur le fait qu'un tel monde ne peut être le fruit du hasard. Sans Dieu, ce monde n'a pas "d'ultime raison suffisante". Kant, au XVIIIe siècle, montre que rien ne permet d'affirmer, ni a priori, ni empiriquement, qu'il existe une finalité dans la nature.

    La réponse est similaire à celle des preuves ontologique et cosmologique.
    Un raisonnement logique, partant d'éléments du réel, perceptibles par nos sens, ne peut pas conduire à la conclusion de l'existence d'une entité supranaturelle, non perceptible par nos sens, donc pas accessible à la raison. En outre, rien ne prouve que l'ensemble des causes et des effets forme un système unique et qu'ils ont une finalité unique.
    Ce n'est donc qu'une spéculation intellectuelle.

    Réponse courte :
    Ce n'est pas parce qu'on ne sait pas tout expliquer qu'il faut faire appel au "prêt-à-penser", au "bouche-trou" de la connaissance, que l'on appelle Dieu et qui ne sert qu'à masquer notre ignorance.

    Retourner la question :
    Pouvez-vous préciser, étape par étape, le raisonnement qui conduit du constat du monde réel à l'existence de Dieu ?
    Quand l'interlocuteur en arrivera à dire : "et ainsi de suite...", il ne fera qu'extrapoler et adopter un raisonnement identique à celui de la preuve cosmologique d'enchaînement des causes.


    votre commentaire
  • La preuve cosmologique de l'existence de Dieu par le principe de causalité ou de contingence du monde

    "Les effets que nous montre l'expérience s'expliquent par leurs causes. Or, chacune de ces causes a elle-même besoin pour être expliquée, d'avoir sa propre cause. Cette régression de cause en cause n'est pas infinie, sinon le monde serait inexplicable. Si le monde est intelligible, il faut qu'on puisse remonter à une cause première, qui n'a pas elle-même de cause. C'est ce qu'on appelle Dieu."

    Le principe de causalité ainsi présenté n'est pas respecté puisqu'il y a une cause, la cause première qui ne respecte pas ce principe. Si l'interlocuteur précise que cette cause est la cause d'elle-même, c'est-à-dire qu'elle se crée elle-même, on sort alors des limites de la raison. L'argument ne peut alors être utilisé comme une preuve rationnelle.

    Essayons néanmoins de "raisonner" avec l'enchaînement des causes, en partant d'un effet "A", pris comme exemple par un croyant. Si la science ou la connaissance humaine sait nous expliquer que la cause de "A" est "B", alors on peut s'intéresser à "B" et en rechercher la cause. Et en ainsi de suite. Mais la connaissance humaine et la science étant limitées, il y aura forcément une cause "N" que l'on ne saura pas expliquer comme étant l'effet d'une cause "N+1", soit parce que la science ne sait pas (encore) le démontrer, soit parce que le principe de causalité est mis en défaut. On fera alors le constat de notre ignorance, mais on ne prouvera rien.
    Les partisans de la preuve par le principe de causalité voudront poursuivre le raisonnement, mais ce ne sera qu'un raisonnement abstrait et théorique, rien ne prouvant que l'on peut le poursuivre (et l'arrêter au moment où cela les arrange). D'autres croyants diront que "N" est une des manifestations de "N+1" qu'ils baptiseront "Dieu", de la même manière que l'avaient fait nos ancêtres à propos de la foudre.

    "Le créateur de l'univers n'existe pas parce que l'univers est incréé. Pour être créé, il faut qu'il y ait eu un acte de création, c'est-à-dire qu'un sujet (Dieu), par une cause (miracle), ait produit un effet (création) dont serait apparu un objet (l'univers). Or, et c'est difficile à admettre pour notre faible esprit humain, le temps n'apparaît qu'une fois l'objet (l'univers) créé, comme le dit la théorie d'Einstein. Le sujet, la cause et l'effet sont donc antérieurs au début du temps, donc dans l'incapacité d'agir ou d'exister. L'univers n'est pas confiné dans un système de référence spatiotemporel, donc aucun qualificatif temporel ne peut lui être appliqué, ni éternel, ni début, ni fin, ni déroulement."
    (Un internaute)

    Les sens ne perçoivent pas le "pouvoir causal", ils n'en mesurent que les effets. Ce "pouvoir" est donc une construction de l'imaginaire qui donne au principe de causalité un caractère subjectif. Ce principe n'est qu'une simple loi de succession, une manifestation de la raison. Or la raison ne peut atteindre un concept tel que Dieu.
    En outre, la signification physique du principe de causalité n'est pas résolue. Il est même contesté par des épistémologues probabilistes (Reichenbach) et des théoriciens de la physique quantique (Heisenberg, Bohr).

    Réponse du positivisme développé par Auguste Comte:
    Pourquoi formuler la question avec "Qui ?"
    Le "Qui ?" relève de la théologie ? (l'enfance de l'humanité)
    Le "Pourquoi ?" relève de la métaphysique (l'adolescence)
    Contentons-nous de nous demander "Comment ?" (L'âge adulte) C'est le rôle de la science d'y répondre. Tout le reste n'est que pure conjecture sans intérêt.

    Citation :
    "En tuant le hasard, on ne ressuscite pas Dieu."
    (Jean Rostand / 1894-1977 / Inquiétudes d'un biologiste)

    --------------------------------------------------------------------------------

    Exemple de variante :
    "L'ordinateur que vous utilisez est constitué de composants faits de plastique et de métaux. Mais qui a créé ces composants ?"

    Il y a des usines qui fabriquent le nylon, d'autres qui produisent les métaux et d'autres qui les assemblent pour fabriquer des ordinateurs. Mais je devine la question suivante : "Qui a fabriqué la matière première qui sert à ces usines ?" et ainsi de suite...
    Au bout d'un moment, je ne saurai plus répondre et je dirai "je ne sais pas". Alors vous répondrez : "c'est Dieu".
    Conclusion : on appelle Dieu ce à quoi on ne sait plus répondre.

    votre commentaire
  • La preuve ontologique de l'existence de Dieu

    "Selon Descartes, si je puis formuler l'idée de Dieu, c'est bien qu'elle est une entité qui correspond au plus haut point des perfections. Or l'existence est une perfection. Donc l'une des propriétés de mon concept de Dieu affirme qu'il possède l'existence. C'est-à-dire que Dieu existe."

    Autre formulation plus concise :
    "Dieu possède toutes les perfections ; or l'existence est une perfection, donc Dieu existe."

    Petit historique de cette preuve :
    Saint Anselme (1033-1109) avance l'argument que tout homme possède l'idée d'une chose dont rien ne peut être pensé plus grand. Pour lui, si l'on ne peut avoir aucune intuition de ce qui correspond à l'idée de Dieu alors je puis supposer que mon idée de Dieu correspond à un existant (quelque chose qui existe). Saint Thomas d'Aquin (1225-1274) reprend l'argument sans formuler de déduction logique allant de ce qui est possible à ce qui existe. René Descartes (1596-1650) formule sa thèse comme ci-dessus. Elle a également été développée par Leibniz (1646-1716).

    Emmanuel Kant (1724-1804) appelle cet argument la preuve ontologique de l'existence de Dieu parce qu'on y prétend prouver que Dieu existe à partir de ce qu'on pense qu'il est. Ici, on lui attribue une essence qui est la perfection. En définissant Dieu comme étant parfait, Descartes ne fait que créer un concept. Kant réfute cette "preuve" en affirmant qu'en aucun cas un concept ne pouvait produire une existence. C'est toute la différence qu'il y a entre la logique (concevoir une existence de manière totalement cohérente) et la réalité (de cette existence). Affirmer que le concept peut servir de preuve n'est qu'une forme de dogmatisme. L'affirmation d'une existence ne peut être que le produit d'une expérience.

    Ce raisonnement est une erreur de logique, un sophisme appelé pétition de principe.

    Réponse courte :
    Ce n'est pas parce qu'une idée ou un concept est cohérent, donc possible, qu'il existe.

    Réponse proposée par un internaute :
    Au sujet de la preuve onthologique de l'existence de Dieu de Descartes que j'ai étudiée en terminal : l'existence de dieu est prouvé à partir du concept de la perfection. Or jusqu'à preuve du contraire ce concept n'est qu'une abstraction de l'homme et ne renvoie à rien de concret, ou de réel. Comment prouver la réalité d'une chose à partir d'une autre qui ne l'est pas ?
    (AVV / 27/12/05)

    Citation :
    "Par définition l'existence n'est pas la nécessité. Exister, c'est être là, simplement. Les existants apparaissent, se laissent rencontrer, mais on ne peut jamais les déduire."
    (Jean-Paul Sartre / 1905-1980 / La Nausée)


    --------------------------------------------------------------------------------

    "Descartes a dit "si Dieu n'existait pas il serait imparfait, or Dieu est parfait... donc il existe"."

    Cet argument est une variante de la "preuve" ontologique de l'existence de Dieu selon la classification de Kant.
    Voir au paragraphe précédent la "preuve" ontologique.

    Si Dieu n'existe pas, on ne peut pas dire qu'il est imparfait, sinon cela voudrait dire qu'il existe (il faut exister pour être imparfait). Or Dieu, tel qu'on nous le présente, est tout puissant, mais pas au point d'exister et ne pas exister en même temps.

    Dire que Dieu est parfait, présuppose qu'il existe. On se trouve là en face d'un sophisme. Plus précisément il s'agit d'une pétition de principe, une illusion de raisonnement qui consiste à tenir pour vrai ce qui est supposé être démontré en l'affirmant dans une des prémisses (Dieu est parfait). La conclusion est donnée sans argument ni preuve. Autre exemple : "La Bible dit que Dieu existe. La Bible a été dictée par Dieu. Donc, Dieu existe."

    Réponse proposée par un internaute :
    Soit l'affirmation "Dieu possède toutes les perfections ; or l'existence est une perfection, donc Dieu existe."
    Il s'agit tout simplement d'un raisonnement fallacieux usant de rhétorique logique. Hélas, nombre d'écrits théologiques et philosophiques grouillent de ce type d'affronts faits aux mathématiques. Formellement, la "preuve ontologique" équivaut à l'énoncé suivant : (A=>B et B=>C) => (A=>C), qui est faux. C'est exactement comme si l'on affirmait : "un choux possède tous les attributs d'un légume ; or, la carotte est un légume, donc la carotte est un choux." A la bonne heure !
    Tant que nous y sommes, laissons libre cours à d'autres fantasmes, "prouvés" par le même raisonnement : "j'ai l'idée d'une soucoupe volante verte avec des points rouges, or, il existe des cravates vertes avec des points rouges, donc une soucoupe volante verte avec des points rouges existe !"
    La "preuve ontologique" n'est donc une fois de plus qu'une ineptie philosophique, mais toutefois pas religieuse. En effet, n'oublions pas que la religion doit avant tout se caractériser par la foi plutôt que par la démonstration, celle-ci étant d'ailleurs désavouée par Jésus lui-même : "Heureux ceux qui croient sans avoir vu". La foi en Dieu est un choix idéologique injustifiable et insondable empiriquement au même titre que la foi athée d'absence de Dieu. Reconnaître cela est préalable à toute prétention d'honnêteté intellectuelle.
    (E.M. / 16/03/06)

    Autre réponse proposée par un internaute :
    Le paradoxe dit du rocher :
    Si Dieu est parfait (et donc qu'il existe, selon la preuve ontologique), il doit pouvoir créer n'importe quoi et faire n'importe quoi. Donc il doit pouvoir créer un rocher si lourd que personne ne puisse le lever. Mais si personne ne peut le lever, Dieu non plus ne peut le lever, donc il est imparfait. Et s'il peut le lever, il ne peut pas le créer à ce point lourd que personne ne puisse le lever. L'idée de perfection est donc foncièrement erronée et puisque rien n'est parfait, Dieu n'est pas parfait. Si Dieu doit être parfait, mais qu'il ne l'est pas, c'est que le Dieu parfait n'existe pas, donc Dieu (qui est Dieu parfait) n'existe pas.
    (ASH / 18/04/06)


    Citation :
    "[...] Je ne crois pas, pour ma part, que la philosophie puisse prouver la vérité des dogmes religieux ou montrer qu'ils sont erronés, mais depuis Platon, la plupart des philosophes ont considéré le fait de donner des "preuves" de l'immortalité et de l'existence de Dieu comme faisant partie de leur domaine. Ils ont critiqué les preuves de leurs prédécesseurs - saint Thomas a rejeté les preuves de saint Anselme, et Kant, celles de Descartes -, mais ils les ont remplacées par de nouvelles, de leur composition. Pour rendre leurs preuves valables, ils ont dû falsifier la logique, unir le mysticisme aux mathématiques et prétendre que les préjugés, profondément enracinés, étaient des intuitions venues du ciel."
    (Bertrand Russell / 1872-1970 / Histoire de la philosophie occidentale / 1946)

    Citation :
    "Dieu est tellement parfait qu'il n'a pas besoin d'exister."
    (Robert Nozick / Philosophical Explanations / 1981)

    votre commentaire
  • Que pensez vous de l'acte d'apostasie ?

    Plus vulgairement appelé "Débaptisation" est un terme désignant l'attitude d'une personne, appelée un apostat, renonçant publiquement à une doctrine ou une religion.

    Ce phénomène est en plein expansion en Europe. S'appuyant sur les loi issues des directives européennes, un nombre de plus en plus important de personnes ayant été baptisées enfants, donc sans consentement, se font rayer des registres des « églises » pour ne plus être comptés comme croyants, ou tout simplement parce qu'elles ne veulent plus cautionner les propos des dirigeants de ces mouvements religieux. L'église catholique est en particulier concernée.

    photo : Statue de l'Empereur Romain Julien l'Apostat qui avait renier la foi chrétienne et a tenté de rendre aux paiens la liberté de pratiquer leur culte (après que la religion chrétienne soit devenue la religion officielle de l'Empire Romain)

    Mon avis perso : La plupart des gens restent baptisés pour 2 raisons
    1) parce qu'ils croyent en Dieu (C'est leur droit)
    2) parce qu'ils ne croyent pas en Dieu et donc le bapteme a une valeur si faible à leurs yeux que il ne vaut pas la peine de le renier (avec la paperasse que ca inclut)

    Moi j'ai décider de faire acte d'apostat car même si je n'accorde aucune valeur à mon baptême (vu que je ne crois pas en Dieu) il y a tout de même des choses qui me gêne dans l'église catholique:
    - Sa prise de position contre l'homoséxualité
    - Sa prise de postion contre les moyens contraceptif (notement contre le préservatif , seul barriere contre le Sida)
    - La protection qu'elle offre aux prêtre pédophiles
    - Sa maniere d'éduquer les enfants à coups de cannes dans les orphelinats, pensionnats, ecoles privées ...etc qu'elle dirige.
    - etc: http://www.christianisme.ch/christianisme.htm

    Mais le pire c'est ce que prétendent les grands dignitaires de cette église qui légitimisent tout ca en s'appuyant sur leur nombre de fideles (en se basant sur le nombre de baptisés, il ne vont pas s'embêter à verifier si l'on est vraiment croyant ou pas)
    Pour simplifier il pourraient dire "On a raison de faire ses choses là et de prendre ces positions là car nous sommes soutenu par des millions de fideles"

    Et bien, même si mon bapteme ne compte pas pour moi, je n'ai plus eu envi de me sentir visé par cette phrase et j'ai eu envi de répondre "Et bien moi je ne vous soutient pas et je le montre clairement"

    Vous allez dire "Ca ne changera pas grand chose" mais quand les choses ne changent pas, qui est à blamer ? Les rares qui agissent ou les nombreux individus qui sont d'accord mais qui ne font rien ?

    Si y en a qui veulent faire pareil...

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique