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  • Je ne suis plus chrétien, je ne crois pas en Dieu, je ne suis absolument pas d'accord avec Benoît XVI sur pratiquement tous les sujets....

    Mais je reste attaché à la liberté et pour cela, en ce 2 novembre (fête des morts pour les Chrétiens) j'accorde une pensée particulière aux Chrétiens d'Orient la communauté religieuse la plus persécutée au monde au XXIème siècle (Au mieux : obligation de subir des lois discriminantes spécifiques, au pire : ayant le choix entre la valise,le cerceuil ou la conversion)

    Au Maghreb, en Libye, en Mauritanie, au Nigeria, en Egypte, au Soudan, en Somalie, en Palestine, en Irak, en Syrie, au Liban, en Turquie, au Kosovo, en Arabie Saoudite, au Yémen, en Iran, au Pakistan, en Inde, au Bhoutan, en Chine, en Corée du Nord, aux Philippines, au Laos, en Malaisie, en Indonésie et partout dans le monde pour les ex-musulmans convertis au Christianisme et menacés de mort.


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  • Vraix casseurs, faux néo-nazis? Retour sur un saccage (article du journal "La Tribune de Genève")

    FRIBOURG | Les casseurs qui ont démoli samedi le bar Elvis et moi courent toujours. L'association Soleil noir, qui devait y organiser une soirée, se défend d'être d'extrême droite. Portraits croisés.

    Des dizaines de milliers de francs de dégâts. Le bilan de l'agression survenue samedi soir à Fribourg est lourd. Une trentaine de casseurs ont saccagé le bar Elvis et moi. Une attaque aussitôt revendiquée par le groupuscule d'extrême gauche, «Antifaschistische Aktion Kommando nazifreie Subkultur».

    Raison invoquée? Le groupe néo-folk Camerata Mediolanense, qui devait donner un concert dans l'établissement, et l'association Soleil noir, organisatrice de la soirée «entretenaient des liens avec les milieux néonazis». Accusations infondées selon les responsables de Soleil noir, qui ont déposé une plainte.


    Soleil noir s'éclipse

    Soleil noir, association spécialisée dans l'organisation de concerts néofolks, n'a pas survécu à l'agression survenue samedi: «Plus que cette attaque, c'est le contenu des articles paru hier qui a eu raison de l'association, commente Lars Kophal, membre fondateur de Soleil noir. A force de se faire traiter de nazis, nous avons décidé d'arrêter
    Le Lausannois avoue ne pas comprendre les accusations qui pleuvent sur Soleil noir: «Nous avons une vision romantique, antimoderne du monde. Mais cela ne fait pas de nous des extrémistes. En six ans, nous n'avons jamais vu le moindre skin à l'une de nos soirées. Ce n'est pas le même monde.»
    Une vision que Hans Stutz* (voir plus bas), journaliste spécialiste de l'extrême droite en Suisse, ne partage pas: «Soleil noir se dit apolitique mais organise des concerts à la tendance politique affichée. Les indices sont là. De nombreux groupes jouent avec une imagerie évoquant les mouvements d'extrême droite des années 20-30.»

    L'amalgame agace Lars Kophal: «Entre une image martiale et une idéologie, il y a un monde.»
    Reste que l'utilisation du Soleil noir, symbole d'origine mérovingienne détourné par la SS d'Himmler, en guise de logo ne fait rien pour faire taire les détracteurs de l'association: «Ça a été notre plus grande erreur, concède Lars Kophal. Cela étant, la roue solaire est un symbole ancien essentiel qui mérite d'être redécouvert, au-delà du mauvais usage qui en a été fait.»
    De son côté, Pierre-André Kesselring, patron des Citrons masqués à Yverdon, a accueilli plusieurs soirées placées sous l'égide de Soleil noir... «sans qu'il y ait jamais eu le moindre problème».
    A la police fédérale, on confirme connaître Soleil noir: «Mais à ce jour, ce groupe n'a commis aucun acte violent et n'est pas répertorié comme dangereux. 


    ::COMMUNIQUE DE L'ASSOCIATION SOLEILNOIR::

    Depuis sa création, SoleilNoir s'est toujours explicitement distancié de toute idéologie passée, présente ou future.
    Sa nature apolitique et strictement culturelle figure dans ses statuts.
    Aucun des membres de SoleilNoir n'a jamais eu aucune activité de nature politique ou idéologique.
    Nous avons a plusieurs reprise affirmé et réaffirmé notre mépris pour la chose politique, la nature strictement culturelle et musicale de nos intérêts et de nos activités, destinées à un petit cercle d'amateurs cultivés et non-violents.
    Celles-ci n'ont jamais donné lieu au moindre débordement de quelque nature que ce soit.
    La plupart des concerts par nous organisé se sont tenu dans un lieu dont le propriétaire est bien connu dans les milieux de la gauche antimilitariste et anarchiste.
    Celui-ci, pas davantage que nous-mêmes, n'aurait jamais toléré le moindre signe, livre, geste, etc., interdit dans ses murs.
    La musique que nous défendions à travers SoleilNoir est de nature essentiellement acoustique, contemplative, mélancolique, d'inspiration «folk», médiévale ou classique, ambiante et toujours mélodique. Elle ne saurait attirer un public de skinhead.
    On nous reproche notamment l'utilisation d'un symbole connoté de par son association avec un régime. Sur notre site figure depuis le début une explication claire à ce sujet, encore reprise et développée par la suite:

    «La roue solaire, sous ses différentes formes, est un symbole presque universellement répandu, dont l'origine se perd littéralement dans la nuit des temps... Le modèle que nous utilisons est le modèle le plus classique de fibule franco-alémane, dont des dizaines d'exemplaires ont été découverts par les archéologues. C'est précisément la raison pour laquelle il a également été marginalement utilisé par des groupes mystiques au début du siècle passé et jusque sous le IIIe Reich... Pour autant, deux décennies d'usage malheureux ne sauraient annihiler la valeur d'un signe sacré entre tous, qui mérite d'être réhabilité.»

    Aujourd'hui, alors que nous-mêmes, le groupe Camerata Mediolanense et le bar «Elvis et Moi» avons été victimes d'une agression inqualifiable de la part d'un groupuscule d'extrémistes organisés et violents pour qui nous étions des cibles faciles, c'est nous qui nous retrouvons sur le banc des accusés, et sommes contraints de nous défendre et de nous justifier.
    La presse s'intéresse à nous, qui avons toujours agis à visage découvert parce que nous n'avons jamais rien eu à cacher, bien davantage qu'aux casseurs, qui demeurent introuvables et ne seront probablement jamais inquiétés.
    Elle justifie ainsi sans l'avouer les actes barbares qui se sont déroulés samedi soir à Fribourg. Elle donne raison et parachève l'œuvre de ces voyous, qui se voient confortés dans leur impunité.
    Nous n'aurions pas cédé devant la violence physique, mais nous ne pouvons tenir tête à la curée médiatique dont nous sommes victimes, dont les conséquences tant privées que professionnelles sont incalculables. Les casseurs peuvent jubiler, ils ont gagné.

    La situation nous amène à nous poser quelques questions:

    Pourquoi aucun/e des journalistes qui ces derniers jours ont consacré tant de lignes ou de temps d'antenne à SoleilNoir ne s'est intéressé d'un peu plus près aux milieu autonomistes bernois qui ont revendiqué l'attaque? Paresse, trouille, sympathie, un peu des trois?

    Pourquoi le site web de SoleilNoir fait-il l'objet de tant d'intérêt, alors que personne, jamais, n'a jusqu'ici ne serait-ce que mentionné celui d'Indymedia, qui publie jour après jour les menaces et les communiqués triomphants des agresseurs?

    Comment les affirmations péremptoires d'une source aussi clairement située politiquement que M. Hans Stutz, militant d'extrême-gauche mais systématiquement présenté dans les médias comme un observateur professionnel, neutre et fiable, peuvent-elles être prises pour paroles d'évangile, alors que toutes celles qui viendraient les contredire sont tout aussi systématiquement considérées avec suspicion, voire rejetées d'emblée ?

    Comment par exemple est-il possible qu'aucun des nombreux journalistes à qui nous avons parlé ces derniers jours n'avait jamais fait l'effort d'écouter ne serait-ce qu'un seul morceau de Camerata Mediolanense?

    Comment peut-on parler de «règlement de comptes» alors que nous n'avons jamais attaqué, ni physiquement ni verbalement, ni explicitement ni implicitement, ni appelé à la violence envers qui que ce soit?

    Comment peut-on en arriver à détruire des individus en associant leurs noms au nazisme ou à l'extrémisme politique alors qu'ils s'en sont toujours explicitement distanciés?

    Comment peut-on en arriver à ce qu'une victime de violence puisse se retrouver accusée de l'avoir «provoqué» par son «ambiguïté»?

    Comment peut-on en arriver à une situation où il vaut mieux être violent, dans l'illégalité la plus complète, mais ouvertement d'extrême-gauche, plutôt que pacifiques, innocents de tout acte illicite, mais soupçonné de sympathies pour l'extrême-droite?

    Qui sont les fachistes? Et qui sont leurs complices?

    Dans quel monde vivons-nous??


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  • Fribourg : Extrémistes de gauche vs gothiques

    Une trentaine de casseurs vêtus de noir et de cagoules ont fracassé samedi soir à Fribourg un bar où allait se dérouler un concert privé gothique. Il s'agit vraisemblablement d'un règlement de compte mené par des extrémistes de gauche, selon la police.

    Les casseurs ont fait irruption à 20h20 dans le bar “Elvis et moi” à la rue de Morat, a indiqué samedi soir la police cantonale. Armés de battes et de bâtons, ils ont brisé les vitrines du bar. Ils ont ensuite lancé une bombe lacrymogène et ont fracassé le mobilier. Aucun des treize invités déjà présents n'a été blessé. (...)

    La soirée privée était organisée par Soleil Noir, une “association fondamentalement apolitique dont le seul but et la seule activité sont l'organisation de concerts”, indique-t-elle sur son site Internet. Elle ne soutient ni n'a de lien avec aucune organisation politique.

    Les adeptes de Soleil Noir, qui se revendiquent “Suisses et Européens”, précisent notamment qu'ils “vomissent la globalisation-standardisation planétaire, la grande soupe fade du multiculturalisme, l'américanisation comme la tiers-mondisation”.

     

    LES EXTREMISTES SONT FIERS (http://switzerland.indymedia.org/fr/2008/10/63605.shtml)

     "Avant de partir, nous avons lancé un pétard de gas lacrymo (dans une Club bien aéré). A notre connaissance personne n'a été arrêté ni blessé. La police a voulu empêché la repliement et a essayé d'arrêté un camarade. Nous avons seulement utilisé notre spray au poivre pour la faire reculer."

    "Que l'extrême droite essaie de se lier et de s'approprier d'autres symboles et rhétorique pour diffuser leur idéologie raciste et haineuse n'est pas nouveau et nous ramène au temps de National-socialisme naissant.
    L'extrême-droite est aussi suffisamment connue pour essayer d'infiltrer les subcultures pour les instrumentaliser. Malheureusement, avec beaucoup de succès dans de nombreux cas. C'est ainsi par exemple que l'extrême-droit a réussi instrumentaliser le mouvement skinhead, à tel point que extrême droite et skinhead sont devenues des synonymes dans les perceptions collectives."


    Suit deux longs paragraphes sur les liens entre les groupes, les organisateurs et l'extrême droite (et notamment avec le magasine Blood&honour, du réseau du même nom)...

    Puis...
    "Cela nous est égal quelles subcultures sont investies par les néonazis et l'extrême droite et comment ils veulent étendre leur propagande, nous les combattrons toujours et partout."

    Pas un pas en arrière face au fascisme!

    Action antifasciste, commando pour une subculture sans nazi. 

     

    DEMOCRATES, CITOYENS , LIBERTAIRES DONT LES TITRES QU'ILS S'AUTO-OCTROYENT LE PLUS SOUVENT , ALORS QU'ILS NE VALENT PAS MIEUX QUE LES S.A.


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  • Voici un article paru dans l'Humanité, le journal du P.C.F., qui relate un concert de Endstille / Dark Funeral à la Locomotive, à Paris le 17 mars 2006. Son auteure, Évelyne Pieller, essaie de faire de l'humour qui se veut subtil, cynique et cassant en parlant de notre musique préférée. J'ai donc ajouté des commentaires derrière chacune de ses remarques putassières pour montrer que c'est plutôt elle qui fait pitié, à gloser sur le métal extrême sans rien y connaitre !


    "Bondieuseries Métalliques"


    La fouille à l'entrée est rapide : pas de canette, pas de drogue, c'est bon. On descend vers la «petite» Loco, tous ces tatoués musclés en tee-shirt noir à dessins diaboliques, c'est amusant

    [NDR : aussi drôle que Djamel ou Dany Boon ?]

    , on est dans l'antre de la bête, un tatoué musclé chante sur scène

    [NDR : madame fantasme sur les tatoos, ça fait deux fois qu'elle en parle !],

    voix grondante éructante, son saturé, la salle adore lever les mains pour faire les cornes, attention, ce sont les cornes du diable, le chanteur d'Endstille se frappe le torse du poing, il paraît que c'est un signe un petit peu nazi

    [NDR : faut-il se fier aux ragots quand on prétend être un journaliste qui critique le système ?],

    le public n'y répond pas

    [NDR : la « journaliste » espérait un tonitruant « Heil Hitler» en réponse, comme dans les
    messes nazies de 1933, quelle déception !],


    les slammers passent de main en main, la batterie est plus rapide que son ombre ; hop, c'est fini.
    On admire le rougeoiement des lumières et la Locomotive assoupie tout en bas, et on attend bêtement

    [NDR : parle pour toi ! Nous, on a des bières à boire !]

    les vedettes, Dark Funeral. La salle se vide à une vitesse impressionnante, on est toujours accroché à la rambarde, plus personne, un doute se fait péniblement jour, ce n'est probablement pas là qu'ils passent

    [NDR : madame veut la jouer « djeun » mais elle est paumée à la Loco !],

    les Dark Funeral, on gagne vaillamment la « grande» Loco, bingo, ils sont tous là, les demoiselles aux yeux charbonneux et au teint de pierrot, et les men in black, un jeune homme au poignet orné d'un genre de coup-de-poing américain extrêmement pointu nous frôle, et s'excuse avec délicatesse

    [NDR : l'auteure aurait sans doute préféré un « niktamèèèère » tonitruant, un VRAI rebelle violent sur lequel pleurer ?],

    le silence s'abat, les lumières baissent, un grondement sourd monte, Dark Fu-ne-ral, Dark Fu-ne-ral, léger frisson, on est où ? Sur scène un décor rigolo

    [NDR : ça vaut pas le sérieux d'un concert de Noir Désir ou l'on réclame en cœur « la fin du faschiiisme » avec le sang de Trintignant sur les mains, c'est sur !],

    croix inversées, diable bélier, suspense, ils sont la, Dark Funeral, Dark Funeral, Dark Funeral, la salle gronde, suspense; et c'est parti, le chanteur est merise, combinaison de cuir noir, visage maquillé genre Kiss en négatif

    [NDR ; ouais, comparer Dark Fu à Kiss, merci l'Humanité et ses vieux chnoques qui se croient encore dans le coup !],

    cheveux longs, les musiciens, visage caché par les cheveux en rideau, sauf le batteur, évidemment

    [NDR : évidemment, à la « Fête de l'Huma », les percussionnistes afro n'ont pas les cheveux longs ?]

    et nous, on est saisi, c'est une cérémonie, un rituel, on regarde la fosse, qui pogote sec ;  ah, c'est sur que dans le genre surchauffé, excessif, bombardement de son et de lumière, c'est une réussite

    [NDR : et oui, Dark Fu est un gros groupe bien pro, cela semble gêner notre « journaliste »] 

    mais en même temps, on n'a pas l'impression d'un décervelage

    [NDR : non, surement pas plus qu'en lisant l'Humanité, qui à chanter les louanges du camarade et bourreau Staline pendant des décennies]

    , le public est très présent, très exigeant, réclame, commente, critique, d'une voix puissante ou aigue, et on y va pour les histoires idiotes d'antéchrist et démons divers vomis par l' Enfer: « They called him the king of jews, but he was a clown, your god I do hate Anno Satanas... », les Dark Funeral sont suédois et légèrement obsédés par Jésus et le mal, et ils applaudissent gentiment le public pour le remercier, et le chanteur présente gentiment

    [NDR : bouh ils sont pas si méchants, en fait ils sont en fait gentils pour des sataniques !]

    chaque chanson avant d'enchaîner sur un râle et un déferlement de batterie, et le groupe se répartit bien attentivement toute la scène, dans un ballet touchant qui permet à tous les spectateurs de voir de près le chanteur , c'est curieux

    [NDR : Dark Fu est  très pro, l'auteur préfère le slam improvisé des banlieues rouges...]

    musique de transe, mais public en éveil, musique d'apocalypse, mais musiciens qui se comportent en vieux routiers, et pas de petit néonazi repérable...

    [NDR : comprendre : c'est très ennuyeux, notre « chasse aux sorcières » pseudo antifasciste tombe à l'eau, que va-t-on pouvoir reprocher au métal? trop de professionnalisme ? un show réussi ?]

    Ça existe, pourtant, quarante-trois groupes sont recensés comme «national socialist black metal»

    [NDR : des chiffres truqués, ça fait toujours scientifique, comme au temps de l'URSS et sa production de lait automatiquement supérieure à celle des USA, et puis ont pourrai aussi dire "pas de terroriste au PCF ? Ca existe pourtant 43 mouvement communistes sont recensés comme "mouvement terroriste" , exemple : les FARC]

    avec des textes, disons, saisissants, mais ce soir, c'est le versant « satanique» qui se déploie, pentacles et crânes, le mal ah ah en nous, on a du mal à croire que la majorité du public prend ça au sérieux

    [NDR : il n'y a qu'elle pour bloquer à mort sur le moindre pentacle disponible !],

    il semble que ce soit plutôt la décharge d'adrénaline, la virulence de la musique, la radicalité du mur du son, et l'attirail provocateur qui séduisent, comme autant de signes interdisant l'accès aux profanes

    [Que fout cette scribouillarde profane ici, alors ?]...

    Lesdits profanes ont d'ailleurs pris d'assaut le « métal », qui se retrouve en vente dans les grandes surfaces

    [NDR : c'est bien connu, le métal est très populaire à la radio et génère des millions de $ de chiffre d'affaire !]:

    évidemment, reste à comprendre pourquoi une partie de la jeunesse aime tant ce type de blitzkrieg
    [NDR : oui, alors que le rap, c'est bien plus cool et rebelle...].

    Tiens, prochain concert à la Locomotive : Destroyer 666 -le chiffre de la bête-, Revenge, Temple of Baal... La fin du monde, les monstres sortent, la folie du mal règne...

    [NDR : quel trip : elle a fumé quoi ?]

    Est-ce que c'est tout à fait étonnant? On relie avec le succès de la fantasy, Harry Potteret autres Seigneurs des Anneaux, et hop, on a un joli ensemble dieu-diable, bien-mal

    [NDR : ça change à peine de la « lutte des classes » : gentils prolo-méchants patrons]

    , initiations diverses, accès au sens caché, héros et sectes, groupuscules et Graal, recyclage d'un Moyen Age puéril, transformation des conflits en parcours d'obstacles sur le chemin de l'apprentissage, métamorphose de l'histoire en traversée de l'adolescence, obsession de la pureté...
    [NDR : cet univers fascinant, riche et typiquement européen ne plait guère à notre journaleuse communiste qui préfère surement le folklore tiers-mondiste, tam-tam, danse du ventre, narguilé et anthropophagie !].

    Allume, j'étouffe, comme on disait autrefois, on s'écoute Didier Super, le roi du mauvais goût, du mauvais esprit, kitsch, impavide, et oxygénant. Oh yeah !


    Dark Funeral, La Locomotive, Paris 17 mars 2006, d'Évelyne Pieller"

    Source : La Horde Noire


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