• Le coté marrant 

    Plusieurs commentaires : 

    - Je n'aime pas tellement le mot "jeunes" (j'y l'impression d'y être inclu) quand il s'agit de parler de racailles, faudrai arreter d'être hypocrite face à des petites frappes qui s'indignent de cette expression devant les caméras, mais qui l'utilise entre elles et en sont fières.
     
    - Utiliser l'argent du contribuable de cette manière je trouve celà totalement ridicule, si ca continue on va bientôt fabriquer de fausses voitures à brûler, et ptètre un jour les fausses femmes à violer pendant qu'on y est. Au lieu de prendre des mesures contre les conneries faites par les racailles on les incite à continuer à les faire mais là où ca n'embêtera personne.
     
    - De toute façon il y en a qui ne sont toujours pas contents, on se demande pourquoi, la seul difference c'est qu'il n'y a pas de locataires à emmerder, et ils vont jusqu'à réclamer un petit chalet avec un babyfoot .... ben voyons, moi qui veut aussi un chalet avec un babyfoot, je vais aller squatter les halls d'immeubles pour l'obtenir (c'est sur, c'est plus simple que de payer)
     
    - Il est pas abimé, pas graffité ...etc, c'est sûr, à mon avis, c'est beaucoup moins marrant de dégrader et tagger un hall quand on sait que ca n'emmerdera aucun locataire.
     
    - Seul point positif , j'ai beaucoup ris
     
     
     
    Le coté moins marrant

    Là , je pense que que ce se passe de commentaire.


    votre commentaire
  • Bande de batards ... j'encule la police ... fuck la police de France ... moi je nique ceux qui mangent du porc ....


    2 commentaires
  •                              

    Il est probable que l'ACSLA et ses membres se fassent un jour traiter de miliciens en herbe, d'inciter à la violence etc...


    Contrairement aux idées reçues sur les mouvements se disant "contre" quelque chose, l'ACSLA n'a qu'un but pacifique, nous ne prétendons aucunement nous substituer à la force publique, civile et militaire. Au contraire, nous entendons chacun de plus en plus autour de nous des citoyens qui en ont assez de subir quotidiennement l'insécurité, les agressions, et qui aimeraient tout simplement pouvoir sortir sans avoir à craindre de se faire agresser et/ou insulter; ces frustrations que nous entendons (et partageons), nous avons décidé de tenter de les canaliser en les centralisant avec l'ACSLA, afin de pouvoir peser de manière plus substantielle et légale pour exiger l'application de la loi, la sanction des agressions, la fin du sentiment d'impunité et d'injustice. L'ACSLA vise donc à éviter que les citoyens ne soient tentés de faire justice par eux-mêmes, cet écho s'amplifiant au fur et à mesure que le temps passe, avec notamment le discrédit que connaît la justice (ou plutôt l'absence de justice) auprès de tous nos concitoyens.

    Nous souhaitons donc tirer la sonnette d'alarme, avant que la situation n'ait définitivement dégénéré jusqu'à arriver à un point de non-retour. La grogne monte, il semble donc légitime de souhaiter faire entendre notre voix. Nous ne sommes certes pas nombreux pour l'instant, l'ACSLA étant un mouvement naissant, nous n'arriverons pas au but en quelques mois, mais l'enjeu semble assez important pour s'y investir (à mon humble avis). Plus nous serons nombreux, plus la légitimité de nos revendications apparaîtra comme justifiée.
    L'ACSLA est une association dont le but est de tenter de lutter contre les agressions et d'exiger pour cela l'application de la loi à l'encontre de la délinquance. L'insécurité sociale est pour l'ACSLA la manifestation quotidienne d'actes illégaux de la part de certains groupements et/ou individus envers les citoyennes et les citoyens. Ces agissements de nature multiple peuvent aller des crimes (viol, meurtre) aux "simples" incivilités (agression verbale, tapage nocturne, insultes) en passant par des délits de toute sorte (agressions physiques, vol, vol avec violence, racket, menaces, incendies de voiture...).

    La notion de citoyenneté, indissociable du principe de solidarité, se traduit pour l'ACSLA par une volonté de faire prendre conscience à tous que l'action se situe au premier plan : informer, débattre autour de soi, échanger afin de (tenter de) trouver des solutions, tout simplement s'impliquer de manière pragmatique. La solidarité se définit ici principalement par l'assistance à personne en danger, que celle-ci se manifeste par une intervention directe durant une agression ou par un appel à la police, l'essentiel étant de ne pas laisser faire sans réagir. L'ACSLA entend également par solidarité de se sentir concerné quand d'autres personnes se font agresser, de cesser de rester impassible ou inactif en se disant "heureusement que ce n'est pas tombé sur moi". Nul besoin d'attendre de se faire agresser pour se sentir concerné par ce problème.

    L'ACSLA a pour finalité de refuser de subir la violence et l'insécurité quotidienne sans réagir. Cette association n'a pas pour but d'inciter à la haine ni à la violence. Nous nous définissons comme un rassemblement de celles et ceux qui veulent s'organiser pour refuser la violence sous toutes ses formes.


    P.S Un reportage sur cette association à même failli se faire mais il n'a finalement pas été réalisé.

    « Notre avis est qu'elle (la journaliste) voulait nous faire passer pour un groupuscule de fachos-parano-miliciens-frontistes. Etant donné que nous ne sommes rien de tout cela et que nous l'avons bien fait ressortir dans les propos tenus durant l'interview, l'intérêt s'en voyait réduit. A savoir que bien que nous ayons spécifié notre apolitisme, elle nous parlait beaucoup (trop) du FN qui reprendrait certains de nos propos , ce à quoi nous répondions qu'il était regrettable que la gauche n'en fasse pas de même car la question de notre sécurité doit transcender les clivages.
    Bref nous pensons qu'elle voulait nous descendre et que vu qu'elle n'a pas réussi, pas de reportage »


    votre commentaire
  • Très drôle et très ressemblant


    votre commentaire